
Plusieurs alertes justifient la nécessité de passer rapidement à un mode de production et de consommation plus respectueux de l’environnement :
• Les signes du mauvais état de la planète se multiplient.
Le réchauffement climatique, accéléré par les activités humaines, risque d’entraîner de lourdes conséquences (montée des eaux, canicules, cyclones, désertification).
• L’augmentation de la population.
On annonce 9 milliards d’être humains pour 2050. Or les modes de consommation pratiquées par l’Occident au XXe siècle ne pourront pas être appliqués à une population aussi importante.
• L’épuisement des ressources naturelles.
Selon l’Agence internationale de l’énergie (AEI), les ressources en pétrole et en gaz vont se raréfier dans les quinze prochaines années. Il est donc indispensable de réduire leur consommation ou d’envisager d’autres sources d’énergie, moins rares et moins polluantes.
• La disparition de la biodiversité.
La forêt équatoriale est grignotée par les compagnies forestières, les cours d’eau et les océans sont pollués, de nombreuses espèces animales sont menacées (abeilles, thons, grands prédateurs…).
• Les catastrophes industrielles.
Elles continuent de faire payer un lourd tribut à la planète et à la santé des êtres vivants qui la peuplent : marées noires, accidents nucléaires, explosion d’usines chimiques, pollutions causées par l’agriculture intensive (empoisonnements liés aux pesticides, surexploitation des ressources en eau douce).
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